A ces photographies oppressantes de forêt s'ajoute une série de cages d'animaux de proie, des félins pour l'essentiel qu'il a réalisée au zoo de Dresde en 2000. Occupées ou non, ces cages, photographiées de telle manière qu'elles offrent une géométrie très rigoureuse, semblent exister pour elle-même, métaphore de toutes les antichambres : des lieux dans lesquels le temps suspend sa course.