Le séjour d'une dizaine d'années en Europe a permis à Yoshio Shirakawa de mieux comprendre sa propre culture. Revenu dans son pays natal, il allie dans ses œuvres l'art actuel, la culture patrimoniale et la tradition japonaise. Il propose ainsi une version d'histoire tant mondiale que personnelle. Le souvenir d'été est à la fois l'évocation du 15 août 1945 et de son souvenir de la guerre de Corée.