Les peintures de Craig Fischer exposées à la galerie Caminade frappent par les superpositions, les inversions ou les décalcomanies qui facilitent le libre jeu des formes recherchées par l'artiste. Selon David Cohen, Fischer utilise tout un vocabulaire de formes hésitantes, mais évite toujours le geste qui met l'âme à nu et le dessin automatique.