Béatrice Turquand d'Auzay évoque l'enfance, celle déchirée par l'holocauste. Des portraits d'anonymes se succèdent sur des matériaux et des couleurs divers évoquant à la fois l'enfance et l'horreur : le noir de cendre froide, du rouge sang séché, des collages de tissus effilochés, des lignes décritures, des cartons ondulés déchirés...